Ce qui compte, c’est la grandeur d’âme que vous mettez dans ce travail…
- Bonjour, sens-tu autour de toi les douces effluves dont nous cherchons à vous envelopper tout un chacun. Cherche à distinguer en toi les fluides qui t’appartiennent et ceux de nos chers frères et une fois cela distinct en toi, appelle ses fluides ; cherche à émouvoir ton cœur et par ta volonté, cherche à aller vers eux. Sens en toi la différence, la force qu’ils créent, c’est comme un grand champ magnétique qui t’enveloppe, comme une force nouvelle. Eveille-toi à cela, ressens comme cela te propulse vers nous. N’as-tu pas l’impression tout à coup de te grandir ? Ne ressens-tu pas que ton cœur s’émeut à ses fluides ? C’est cela l’ouverture d’âme qui est nécessaire pour nous rejoindre. S’émouvoir à notre approche et se grandir pour aller chercher davantage de fluides nécessaires à votre ralliement et à l’harmonie qui doit se créer entre vous pour aboutir à de meilleurs résultats.
- Et comment se fait le lien entre nous ?
- En ouvrant ton cœur, en ouvrant chacun son cœur, vous vous rejoignez car dans cette démarche, vous allez chercher les fluides qui vont vous lier les uns aux autres. C’est l’amour que vous mettrez chacun et les liens qui se cimenteront entre vous, qui créeront cette harmonie.
- Pour chercher ses fluides, il faut donc qu’il y ait un peu l’abandon du corps, une sorte de semi-sommeil ?
- Uniquement orienter tes pensées vers la grandeur de ton âme, t’oublier dans tes sensations premières et physiques, ne songez qu’à ce travail d’amour qui nous lie entre nos deux mondes ; cette élévation suffit pour nous rapprocher et trouver les fluides nécessaires à cet équilibre. Ne pas s’occuper des sensations physiques qui ne sont que secondaires.
- Et ensuite est-ce nous qui choisissons les fluides ou vous ?
- C’est nous qui sur notre plan avec toute une équipe d’esprits veillent à accorder, à moduler les fluides qui sont nécessaires ; ils s’harmonisent avec la modulation de votre pensée. Plus grand est votre amour, plus forte est l’enveloppe fluidique que nous créons autour de vous. Songe à tous ses esprits qui travaillent et qui veillent sur vous, attentionnés, bienveillants. Grandissez-vous dans cet amour qu’ils ont pour vous, épanouissez-vous, tout n’est que bienveillance et attention.
- Et devons-nous demander les fluides suivant le travail que nous désirons, suivant les apports ou guérisons ?
- Ce qui compte, c’est la grandeur d’âme que vous mettez dans ce travail, la compassion que vous avez pour votre prochain, l’amour que vous mettez pour l’obtention de vos fleurs.
- La grandeur de l’âme, c’est l’amour et la compassion ?
- C’est l’envie d’avancer, l’envie d’aider, l’envie de progresser telle à l’image du divin.
- C’est chaque parcelle de nous-mêmes qui doit s’investir alors ?
- Qui travaille avec abnégation dans le souci de progresser, de diffuser ce que vous avez à cœur afin d’aider votre prochain, c’est tout cela la grandeur d’âme. Mettez-y tout votre cœur, tous vos espoirs sincères et volontaires.
- Et demander de toute notre force ?
- Afin de poursuivre votre chemin en la compagnie céleste de vos frères bien-aimés afin de s’appuyer sur nous quand vous doutez et que vous ne savez pas ce qu’il faut faire. Sens comme la puissance des fluides crée en toi une envie d’avancer, crée en toi l’espoir ; sens comme ton cœur bondit de joies et comme s’installe la sérénité et la confiance absolue que la lumière sera bien au bout du chemin que tu as entrepris.
- L’impression que rien ne peut nous arrêter…
- C’est la grandeur des frères qui t’accompagnent et qui veillent patiemment, sagement sur tout un chacun.
- Comment faire pour que cette force reste en nous tout au long de nos journées ?
- Croire, ne cessez pas de croire ; tout n’est que pensées, ne jamais oublier que tu es accompagné, que vous êtes accompagnés. Imprimez au plus profond de vous cette force et ne jamais se laisser abattre. Songe à l’amour de ses frères, tu ne peux les voir, mais ils ont bien sur vous un regard. Sens en toi s’infiltrer cette douce lumière, puisse ta foi soit forte, solide et confiante.
- C’est ainsi que travaillaient nos aînés ?
- Exactement, dans la foi de celui qui sait qu’il est accompagné quelque soit les évènements, quelque soit la difficulté des tâches qu’il accomplit. Tes frères aînés ont posé tranquillement leurs mains de celles de ceux qui invisibles, les accompagnaient ; ils n’ont point douté, sois de ceux-là, crois sans avoir vu, crois, crois voir et ressentir cette force et cette paix.
- Et il n’y a rien d’autres à savoir ? Tout est en nous, dans notre foi, dans notre cœur ?
- Dans cette croyance, il faut te grandir.
- C’est si simple, c’est si beau.
- Je vais te laisser à présent, il est temps de continuer tes autres travaux et de mettre en application, la recherche des fluides. Paix à toi.
- Je te remercie, nous allons travailler.
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