L’auteure de Jane Eyre avait expliqué à sa biographe que pour décrire ce qu’elle n’avait jamais connu elle-même, elle y pensait fortement plusieurs soirs de suite avant de s’endormir, jusqu’au jour où un matin, elle s’éveillait «avec devant elle une vision parfaite des choses, comme si en réalité elle en avait fait elle-même l’expérience. Elle pouvait alors reprendre la plume et d’écrire la chose, mot par mot, telle qu’elle se produisait dans la réalité.
CHARLOTTE BRONTË (1816-1855)
« Henri heine (1797/1856) L’ONCLE TOM »
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